A UN CUNNI PRÈS…
– Lionel ? Tu peux ouvrir s’il te plaît ? Aïta est à la porte.
La voix de Laure venait du salon. J’étais dans la cuisine et elle donnait sur l’entrée de notre appartement. Je m’y dirigeai et ouvrit la porte.
– Hey, chéri coco ! ça va ? Aïta m’enlaça avec enthousiasme, collant son généreux bonnet D à mon torse.
– Ma cap-verdienne préférée. Je suis content de te voir.
– Et moi donc !
– Elle est où ta grogneuse de coloc’ ?
– Dans le salon.
Elle me passa devant et se dirigea vers la porte du séjour. Je m’arrêtai un instant :
– Voyons, je n’allais quand même pas me priver du beau spectacle qu’offrait ses fesses moulées dans son jean boot Cut noir et sa belle cambrure que je pouvais aisément deviner sous son large tee-shirt gris.
Ses cheveux bouclés étaient ramassés en deux chignons et avec ses basket Stan Smith à fleurs on la prendrait aisément pour une lycéenne sauf que nous nous approchions tous les trois de la trentaine. Je retournai à la cuisine pour finir la préparation du smoothie mangue-banane-lait de coco que j’avais commencé avant l’arrivée de cette jeune femme à qui j’aurais pu faire des choses très peu catholiques si je me retrouvais dans une pièce avec elle. Ses formes en damneraient plus d’un. Vraiment dommage que ce soient les chattes qui l’intéressent.
– Ooh tu es le meilleur, m’accueillit Laure quand je revins les mains chargées des trois verres de smoothie.
Elles s’étaient toutes les deux installées à même le tapis au centre duquel trônait normalement la petite table basse qu’elles avaient déplacée sur le côté.
– Euh vous manigancez quoi toutes les deux ?
– On t’attendait.
Je leur lançai un regard suspicieux. Je les adorais mais ce qu’elles pouvaient être imprévisibles, surtout Laure.
– Joins-toi à nous, chéri coco.
Je m’installai en face d’elles, assises côte à côte. Laure était encore dans sa sorte de pyjama ; un petit short qui était à la limite de la courbe basse de ses fesses avec un large tee-shirt. Qu’est-ce qu’elles avaient toutes les deux avec leur large tee-shirt. Pensaient-elles vraiment que cela cachait leurs magnifiques courbes et qu’elles seraient moins sexy ou désirables ainsi vêtues ? Si Aïta n’était pas passée, on se serait peut-être fait des gâteries avec Laure. C’était notre petit rituel du samedi matin. Je ne sais même pas comment on en était arrivé à ce rituel qui consistait à se faire du bien de temps en temps en se donnant mutuellement du plaisir. Elle ne me faisait pas assez confiance pour sortir avec moi et moi je ne voulais pas gâcher notre amitié avec la complexité d’une relation.
– En fait j’ai décidé de sauter le pas, fit Laure et de le faire avec vous.
J’en ai parlé à Aïta et tu la connais elle est toujours IN quand il s’agit de ça.– C’est quoi « ça » ?
– Elle veut se faire bouffer la chatte par nous deux.
Fit Aïta très enjouée, limite excitée.
– Hein ?
Je me mis à tousser après avoir avalé de travers mon smoothie.
– Tu sais ? Ce que tu lui fais souvent le samedi matin… pour la « détendre ».
– Pardon ?
– Oohh petit coquin, don’t be shy ! Je sais pour votre petit rituel.
– …
– Tu as bien compris, j’ai envie d’essayer avec une femme et j’ai confiance en Aïta et toi.
Je m’éclaircis la voix, je ne voyais pas ce que je venais faire dans cette histoire et pourquoi elles m’en parlaient.
– Dieu faites qu’elles ne me demandent pas de les regarder faire, priais-je faussement intérieurement.
Comme pour montrer qu’elles ne bluffaient pas, Aïta se redressa sur ses genoux et retira son tee shit.
– Putain !
Elle se leva dans la foulée pour retirer son jean.
– P-U-T-A-I-N
Elle portait un magnifique body en dentelle vert fluo, échancré à l’avant. On pouvait apercevoir l’auréole de ses seins au travers de la dentelle. Il semblait y avoir une accroche autour de son cou et une fine corde longeait la ligne de sa colonne vertébrale. Elle reliait la sorte de tour de cou au Y en dentelle qui disparaissait au milieu de sa magnifique et ferme paire de fesses.
– Merci Seigneur pour cette belle créature… me dis-je.
Qu’est-ce qu’elle était belle et excitante. Son corps rendait parfaitement justice aux heures qu’elle passait à la salle de sport. Et c’est vrai que je ne me serais jamais douté qu’un tel spectacle se cachait sous son large tee-shirt. Je tournai le regard vers Laure. Elle était tout aussi subjuguée que moi. Elle se mordit le coin droit de sa lèvre inférieure. Ce mignon tic qu’elle avait quand elle était excitée par ce qu’elle voyait.
– Waaoow tu es magnifique ma chérie !
– Merci ma laulau. Tu aimes ce que tu vois ?
– Carrément.
Laure se redressa, sur ses genoux. Aïta se remit également à genoux. Elles se faisaient désormais face. Et se regardaient intensément. Aïta effleura la joue de son amie et finit sa caresse en passant ses doigts sur ses lèvres la forçant à les entrouvrir. Elle se pencha ensuite vers elle, tellement lentement que cela m’a paru une éternité. Lorsque leurs lèvres se soudèrent dans un baiser d’abord timide mais de plus en plus langoureux et passionné, je déglutis silencieusement. Aïta savait vraiment y faire, elle provoquait Laure avec ses baisers et l’incitait à venir les chercher. Cette dernière semblait si fébrile.
Je les fixais et je n’osais même pas bouger ou faire le moindre bruit. C’était tellement beau cet échange de fluides.
– Merci Seigneur !
C’était encore mieux en vrai que dans les films que je regardais de temps en temps.
Comme si elles avaient enfin senti la chaleur du regard dont je les avais enveloppées, elles se tournèrent toutes les deux dans ma direction.
– Tu viens chéri coco ?
Je me précipitai limite vers elles, à genoux. Quel homme aurait refusé une telle invitation ?
– Qui allais-je embrasser en premier ?
Laure m’en donna la réponse en m’attirant vers elle. J’eus droit à un baiser fougueux et je fus légèrement déçu quand elle quitta mes lèvres pour reprendre celles de ma cap-verdienne. C’est comme si j’avais un zoom du baiser que je regardais quelques minutes auparavant. Ma déception fut de courte durée car ma Laure me revint.
Elle gémit entre mes lèvres, Aïta venait de prendre son téton dans sa bouche. J’en profitai pour glisser la mienne dans son cou. De ma position sur le côté, je pouvais les observer toutes les deux. Laure dont le regard brûlait d’excitation et Aïta en experte avait la bouche pleine et une de ses mains s’affairait au niveau du short de son amie. Elle semblait, y avoir faufilé un ou deux doigts à voir comment Laure ondulait son bassin pour aller vers sa main. Elle m’adressa un clin d’œil et d’instinct je retirai à Laure son tee-shirt pour moi aussi m’emplir la bouche de son sein.
– OOOOOhhhhh…
On savait visiblement tous les deux qu’on tenait une des zones érogènes de notre amie. Voulant sans doute soulager Laure de son short et dégager le chemin menant à sa fente certainement humide, Aïta m’offrit sa part de la généreuse poitrine dont nous nous occupions depuis quelques minutes. Je la pris dans ma main pour la malaxer et faire tourner son bout entre mon pouce et mon index. Ma langue suçait et dessinait des cercles sur l’autre mamelon.
Laure était désormais nue, allongée sur le dos, la couleur café de sa peau tranchant avec celle beige du tapis de notre séjour. Aïta était également allongée, sur le ventre, les poils doux du tapis aplatis par le poids de ses seins. Sa tête dépassait de l’entrecuisse de notre amie. J’apercevais encore ses yeux remplis de gourmandise tandis qu’elle léchait goulûment tout ce qu’il y avait de plus intime entre les cuisses de Laure. Je me sentais de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon de jogging gris, à mesure de ses va-et-vient. Je bandais comme un taureau, on aurait même dit un diamant. Je n’avais pas le souvenir d’avoir déjà été aussi dur de ma vie.
– Ces filles, de vraies sorcières.
Laure, se tortillait, se cambrait.
Son corps rythmé par les vagues de plaisir qui montaient en elle sous chacun des coups de langue de son amie. Elle m’attira à elle en tirant sur le col de mon tee-shirt noir. On échangea un baiser puis à bout de souffle elle me demanda :
– Je veux ta queue…
– Non.
– S’il te plaît fit-elle en tirant sur le lacet de mon pantalon et en cherchant à libérer mon soldat qui n’attendait bien entendu que ça.
Je l’aidai.
Elle entrouvrit ses lèvres, elle était prête à me recevoir, mais j’esquivai et tapotai ma bite sur sa joue.
Je posai le bout de mon gland sur ses lèvres. Elle le lécha. Je maintins son menton pour qu’elle ne me prenne pas jusqu’à la garde… Du moins pas tout de suite. Elle prit quelques centimètres de plus. Je l’arrêtai, guidai ma bite dans le coin intérieur de sa joue et la ressortis de sa bouche. Elle me lança le regard d’un enfant à qui on enlève son jouet préféré. Je le lui rendis …
Chacun de nous avait son jouet. Moi, les tétons que je pinçais et Aïta jouait savamment de sa langue et ses doigts avec la chatte de Laure. Cette dernière ne mit pas longtemps à jouir bruyamment en spasmes, ma bite encore dans sa bouche. Elle n’eut pas le temps de redescendre qu’Aïta se redressa et se positionna de manière à n’avoir plus que sa main en elle. Elle commença à faire un geste que je reconnu instantanément. Il allait y avoir de la giclée.
– Ohhhlallala Laure n’était pas prête, pensais-je.
Jusqu’à présent, lors de notre rituel de détente, j’arrivais à la faire fontaine moi avec mon gland mais pas avec mes doigts. Aïta était vraiment habile et maîtrisait. Laure qui s’était redressée, appréhendait ce qui allait arriver. Elle abandonna ma bite et lança :
– Tu fais quoi Aïta ?
– Ne te retiens pas cocotte, lâche-toi !
– Ooooooooohhhhh, non nooo….
Je la fis taire en lui redonnant son jouet…. Je m’enfonçai dans sa bouche et l’étranglai doucement. Elle me regarda surprise et furieuse. Un peu comme si je l’avais trahi. A quel moment a-t-elle pensé que j’étais de son côté ?
– I am TEAMAÏTA for life baby! Me dis-je dans un ricanement sournois.
Ma cap-verdienne menait de main de maîtresse cette chatte humide. Au bruit qui venait de son entrecuisse et de la manière dont elle se cramponnait à mon bras et à celui de son amie, Laure ne tarda pas à être prise de nouveaux spasmes et à éclabousser tout ce qui se trouvait entre ses jambes.
– OOOOHHHHHHHHH, oooooohhhhh
– P-U-T-A-I-N
Aïta, lui tapota ses grandes lèvres et son pubis pour la calmer :
– Ça va ma cocotte ? Tu as aimé ?
– Uhhumm j’ai peur de te répondre.
– Je sais déjà et ce n’est que le début !
– Vous êtes vraiment des malades fit Laure en me regardant.
– Euh oui ! Et c’est pour ça qu’on s’entend si bien. N’est-ce pas chéri coco ?
– On est d’accord on vient de passer un cap là dans notre amitié ? Vous m’avez dévergondé.
– Bien sûr, fais genre mon coco.
– C’est à moi de dire ça….