Confinés à deux!
Toyin est une jeune femme active, drôle et créative. Elle est passionnée par son afro-descendance et la met en avant sans hésitation. D’ailleurs, elle reprend systématiquement ceux qui écorcheraient son prénom d’origine yoruba.
– TOYIN ça se prononce T-O-Y-I simplement ! retorque-t-elle aux personnes maladroites.
Approchant la trentaine, elle a toujours aimé sa vie et elle la croque à pleine dents.
L’arrivée de la pandémie du Covid-19, l’avait prise au dépourvu dans son rythme quotidien et elle revoyait tout doucement son organisation. Les nouvelles règles sanitaires l’obligeaient à travailler de chez elle, en télétravail. Elle sortait moins et devait d’une manière ou d’une autre dépenser de l’énergie…
Cette semaine, elle recevait son petit ami chez elle: Maxens.
Elle préférait l’appeler Max.
Il avait bravé le virus, les transports pour venir se confiner avec elle…
– Il devait sacrément être en manque après deux mois sans la voir… Se dit-elle en se préparant pour sa séance de yoga.
Elle se rendit dans son salon, déroula son tapis et commença ses étirements.
Toyin finissait sa séance quand elle entendit les pas de Maxens dans le couloir qui menait au séjour.
– Bonjour ma chérie, fit-il en se rapprochant d’elle et en déposant un tendre baiser sur ses lèvres.
– Bonjour toi, fit-elle avec un grand sourire.
– As-tu bien dormi ?
– Oui pas mal et toi ?
– Bien… Très biennnn. Il y a une personne qui m’a vidé de mon chakra hier soir à mon arrivée !
– Je ne vois pas de quoi tu parles. Fit – elle malicieuse.
– C’est ça !
Vêtu de son pantalon de pyjama et d’un simple tee-shirt, il se dirigea vers la cuisine, ouverte sur le séjour. Il se servit un grand verre d’eau et se mit à chauffer de l’eau dans la bouilloire blanche probablement pour se faire un chocolat chaud comme à son habitude.
Toyin sentait son regard posé sur elle, tandis qu’elle rangeait son tapis.
– Je vais prendre une douche dit-elle en commençant à retirer son collant de sport suivit de sa brassière.
Vêtue uniquement de son boxer bordeaux, sa poitrine prenant l’air de la pièce, elle passa devant lui pour se prendre un verre d’eau. Elle n’eut pas le temps de terminer son geste, qu’il lui empoignait déjà sa fesse droite.
Peu surprise par son geste, elle sursauta légèrement :
– Ooohhh ! Que t’arrive-t-il ?
– Tu sais très bien qu’en te baladant comme ça et en me narguant avec ton joli corps il y a une taxe à payer.
Un sourire coquin se dessina sur ses lèvres
– Tu n’en as pas eu assez hier soir? fit-elle.
– Jamais quand il s’agit de toi!
D’un geste rapide, Il l’attira vers lui de sorte à ce que la poitrine de la jeune femme vienne s’appuyer contre son torse. Leurs lèvres se retrouvèrent dans un baiser intense et fougueux. Au bout d’une minute, Maxens renversa la tête de sa copine en arrière, s’offrant ainsi son cou sur lequel il se pencha afin d’y déposer une trainée de baisers.
– Uhum.
Un son a peine audible qu’émit Toyin.
Son excitation montait tout doucement. Elle ne saurait lui résister longtemps…
Il lui pencha davantage la tête sur la droite. Passa du lobe de son oreille à son épaule qu’il finit par mordre.
Toyin, sentit une vague humidifier l’intérieur de son boxer. Elle serra aussitôt ses cuisses. Max se défit légèrement de leur étreinte afin de la contempler de son regard sombre de désir. Toyin soutient son regard.
– Qu’allait-il faire maintenant ?
En réponse à cette pensée de la jeune demoiselle, Max posa ses deux mains sur le haut de sa poitrine généreuse et ferme. Il passa ses doigts longs et fins sur ses seins, puis du bout de son pouce et de son index, il lui pinça fortement les tétons. Ce geste arracha un cri à Toyin qui voulut s’enfuir mais le regard du jeune homme l’en dissuada.
Son regard était soudainement devenu très sombre. Il n’avait rien du doux Maxens avec qui elle avait passé une nuit de tendresse la veille.
Plus il la pinçait tout en soutenant son regard, plus elle mouillait. Elle avait sa bouche légèrement entrouverte sans qu’aucun son audible n’en sorte.
Toyin fini par se dérober, les tétons durs et un peu douloureux.
– Viens
– Non
– Tu en es sûre ?
– ….
– Donne-moi ta main.
Il lui prit la main, la porta à ses lèvres pour y déposer un baiser tendre.
Elle savait qu’il y avait un piège…
Il la fit pivoter sur elle-même de façon à ce qu’elle se retrouve dos à lui. Ses fesses contre sa taille à lui. Sa taille, où à quelques centimètres plus bas s’était formée une bosse dure qu’elle sentit.
Il lui saisit la taille, elle se cambra. Elle se pencha légèrement, il la retint encore plus fort. Parcouru son dos d’une main vers le haut de son épaule et s’en servit pour la pousser encore un plus sur lui… sur son paquet.
Elle se mit à onduler. Il n’y avait plus que deux fines couches de tissus qui séparaient le ruisseau débordant de Toyin de l’ancre tendu de Max :
– son boxer à elle et le pantalon de pyjama du jeune homme.
La laissant se trémousser sur lui, il tira sur son boxer afin de le lui retirer.
Toyin fit mine de résister mais elle savait que c’était vain. En un rien de temps son boxer se trouva au niveau de ses chevilles.
– Plus qu’une couche … Les séparant.
Max, caressa le dessus de sa fente humide de l’arrière.
– Oh putain, comment tu es trempée ma chérie !
De son index, il atteignit le haut de sa fente. Passant le doigt sur son bouton, il le sentit bien gonflé de plaisir.
– Tu me surprendras toujours ! C’est tellement excitant de te savoir si excitée et dégoulinante…
Il commença des va-et-vient avec ses doigts.
Voulant changer de rythme, tout en la caressant, il la poussa vers le plan de travail qui se trouvait en face d’eux. La força à écarter un peu plus ses cuisses. D’un de ses doigts, il visita l’intérieur humide et chaud de la jeune femme. Cette dernière émit un soupir. Puis il essaya de nouveau avec un doigt supplémentaire. Il partit dans un rythme fou avec sa main entre les cuisses de Toyin.
Le jet naissant au fond d’elle, ne mit pas longtemps à jaillir de son antre, créant des éclaboussures, sur le bras de Max et s’échouant sur les carreaux de la cuisine.
Sentant, ses jambes se dérober sous elle, Toyin, s’agrippa au plan de travail.
– Waaooooow ! j’adore. Il ne me reste plus qu’à te la bouffer. Fit Max, avec un ton satisfaisant, sûrement fier de sa prouesse.
Elle n’eut le temps de rien dire qu’elle l’aperçu s’accroupir derrière elle.
La tête du jeune homme à hauteur de ses fesses, elle respirait à peine. Comme si elle attendait une sentence d’un tort quelconque qu’elle aurait commis à l’encontre de son amoureux.
Max empoigna ses fesses, les mordit et y déposa des baisers doux entre deux morsures.
– Elles sont si belles tes fesses.
Il les griffa puis les écarta, la forçant à se cambrer un peu plus, ce qui dégagea le chemin menant à sa fente humide. Max avait désormais accès à sa toute sa faiblesse. Il pouvait voir tout ce qu’il y avait de rose en elle ; l’entrée de son intérieur, le gland de son clitoris que recouvraient ses deux petites lèvres asymétriques.
De sa langue, il plongea dans sa fente et atteignit son clitoris qu’il lécha et suça à de nombreuses reprises. Chaque coup de langue déclenchait en Toyin, une de mini explosion de plaisir….
Sa chatte ne lui appartenait plus.
Elle était à la merci de cette langue qui en fouillait les moindres recoins.
– Ooooohhh Max, ça suffit… Arrête… S’il te plait.
– ….
N’obtenant aucune réponse, elle tenta de retrouver la tête de l’explorateur pour l’éloigner de son île. Il repoussa ses mains, et continua de lui arracher quelques gémissements avant le cri qu’elle poussa lorsqu’il la posséda d’un coup sec de reins. Elle planait tellement de plaisir, qu’elle ne l’avait pas entendu se redresser rapidement pour s’introduire en elle.
Les premiers coups se firent fermes et profonds, justifiants les cris qu’elle sortit des abîmes de son être.
Il la tenait fermement par les hanches afin d’imposer le rythme auquel les fesses de Toyin venaient frapper contre le bas de son ventre à lui. Une fois le rythme soutenu, Max lui souleva une de ses cuisses qu’il posa sur le plan de travail et il profita de ce changement pour lui empoigner les seins dont il pinça les bouts.
Il passa de même sa langue dans son cou puis à son lobe d’oreille.
– Tu es belle ainsi. J’aime te voir prendre autant de plaisir. Regarde-moi.
Toyin se tordit un peu le cou pour répondre à cet ordre. S’en fut un baiser fougueux puis doux.
Max continuait de la remplir.
– Tu me sens bien ?
– Oui mon cœur, c’est tellement bon de te sentir en moi.
– Je sens la chaleur de ton intérieur tellement tu es serrée….
– Uhum…
Elle savourait les sensations que déclenchaient ces frottements en elle. Elle avait l’impression qu’il durcissait de plus en plus et elle mouillait de plus en plus…
2 commentaires
Francky69
Tu nous as encore tenu en haleine jusqu’au bout… J’ai eu comme l’impression de vivre cette scène tellement les détails nous prennent aux tripes et pas queue… En tous cas c’est redevenu très chaud par ici.. J’espère qu’il y a une suite. En tous cas bravo pour ce travail.
Shana Khan
Merci Francky 🙂 !
Cela fait du bien de savoir que mes histoires plaisent toujours.
Pour la suite, cette fois-ci je laisse au lecteur la choisir selon son imagination.
A très bientôt!
Shana.